La nuit de notre arrivée, j'avais été impressionné par la vitesse à laquelle notre chauffeur, Jorge Senna (-: , conduisait dans les rues presque désertes de Quito. ¡Facil! comme dirait les espagnols! Ils conduisent tous à cette vitesse dans la circulation très dense quotidienne. C'est la folie furieuse!
À Quito, il y a beaucoup de congestion, de coups de klaxon, de piétons qui prennent des chances, de motocyclistes qui louvoient, d'autobus crachants une épaisse fumée et j'en oublie. Les règles de la circulation semblent très similaires à celle du Québec mais tout s'y passe plus rapidement. On klaxonne dès que ça bloque devant soi et on contourne si c'est possible, ou pas! Ça bouchonne beaucoup mais pas très longtemps; la fluidité revient rapidement. On voit un grand nombre de policiers à motos assurant la sécurité (!?!) Le mot d'ordre pour le piéton ici c'est Sauve ta peau! Au Québec, nous avons l'impression d'être invisible. Ici, le piéton EST invisible. Il est responsable de sa propre sécurité. Il y a des traverses de piétons avec feu mais nous n'avons pas encore décodé exactement les règles s'y rattachants. Avec le temps peut-être... Je ne me vois pas conduire à Quito et pas me déplacer à vélo non plus.
Le parc de véhicule est très intéressant. Voyez cette jolie Kia! On voit beaucoup de petites voitures et petites camionnettes. Certaines sont très récentes, d'autre origine de ma jeunesse. La grande majorité possèdent une transmission manuelle; c'est beau à voir dans le vieux Quito très pentu! Même les autobus exigent des chauffeurs de jouer du levier de vitesse. On voit aussi beaucoup de motos, principalement de petites double usage de 200-250cc ou de vieilles 125cc de route du temps... de ma jeunesse! Nous aurons probablement un article avec beaucoup de photos pour illustrer la diversité de la faune mécanique équatorienne. À suivre...
Guy
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