/* Modif a entente pour post court sur page principale */ /* Fin modif a entente pour post court sur page principale */

mercredi 30 octobre 2013

La pensée de Gilles

Lors d’une présentation à des étudiants, Albert Einstein  leurs à partager que « … la logique vous conduira d’un point A au point B, l’imagination et l’audace vous conduiront où vous le désirez.»

lundi 28 octobre 2013

Truc Comment fait-on: le chargement du vélo de Guy

Voici comment je transportais tout le matériel à ma charge à notre arrivée de la Nouvelle-Écosse après plus de 4 mois sur la route. On parle donc d'un système éprouvé. Il restait tout de même de l'espace pour un peu de bouffe lors de nos passage à l'épicerie.

Dessus du porte-bagage arrière

la tente et la toile de fond retenue par 2 courroies ajustables. Une courroie élastique serre aussi le tout.  Elle est utilisée comme corde de séchage et pour attacher l'imperméable à l'occasion.

Tiges de fixation du porte-bagage arrière (dessus)

Bouteille Nalgene 1.4 L dans son étui retenu par 2 courroies ajustables

Sacoche de guidon





















  1. Portefeuille (argent, cartes et passeport)
  2. Mini tablette wifi-GPS Samsung
  3. Étui à lunette
  4. Calepin
  5. Cartes d'affaire "Simplement 2 voyageurs"
  6. Crayon feutre et surligneur
  7. Multi-outils Leatherman Squirt PS4
  8. Porte-chance (don de Raymond)
  9. La bonne Ste-Anne qui m'accompagne dans mes déplacements depuis toujours (don de Louiselle)
  10. Clef USB 16 go (bootable comme si c'était mon ordi personnel)
  11. Fil USB compact pour charger la tablette
  12. Écouteurs (principalement pour Skype)
  13. Lecteur de carte SD (transfert des photos)
  14. Chargeur USB double

Sacoche avant droit




















  1. Manteau en duvet
  2. Matelas de camping autogonflant
  3. Oreiller autogonflante
  4. Sac de couchage en duvet + pyjama
  5. Étui pour matériel de nuit (lampe frontale, chandelle, sac à ours, ...)
  6. Lampe frontale
  7. Chandelle micro UCO
  8. Clef USB 64 go pour copie de sécurité des photos (dans l'étui noire)
  9. Papiers importants (dans l'étui noire qui est cachée au fond de la sacoche)

Sacoche avant gauche





















  1. 1er grand sac à vêtements
  2. Petit sac pour les bas et serviettes
  3. 2ième grand sac à vêtements
  4. Trousse d'hygiène personnelle
  5. Sac à linge sale en filet
  6. Liseuse Kobo

Sacoche arrière droit




















  1. Veste de laine mérino
  2. Sac pour vêtements de pluie (manteau, pantalon, gant de pêcheur, ...)
  3. Sac à dos replié dans sa pochette
  4. Pneu de rechange
  5. Sac pour matériel de réparation (chambre à air, boulons, cables, graisse, fils, velcro, ...)
  6. Rayons de rechange
  7. Courroie d'épaule pour sacoches
  8. Étui pour matériel électrique (chargeur piles, cable USB, cartes mémoires, ...)
  9. Huile pour chaine
* Manque sur la photo: beurre de peanut, café, tartinade sucrée


Sacoche arrière gauche




















  1. Planche à découper
  2. Kit de chaudrons
  3. Étui pour le poële
  4. Sac à matériel en surplus (casquette, chandelles, courroies, ...)
  5. Étui à ustensils
  6. Étui pour produit nettoyage (savon vaisselle, eau de javel, savon vêtement)
  7. Étui pour outils de réparation des vélos

Guy

jeudi 24 octobre 2013

Truc Comment fait-on: Les outils du nomade

Voici notre version de l'ensemble d'outils nécessaire pour une longue expédition à vélo en terrains éloignés ou pour une vie de nomade à vélo. Il permet de parer à pratiquement tous les problèmes mécaniques hormis l'extraction d'un boitier de pédalier.




  1. Clefs à cone 13mm-15mm et 17mm, clefs Allen 2mm-6mm
  2. Mini multi-outils Leatherman Squirt PS4
  3. Tournevis plat, tournevis cruciforme, clef Torx pour écrou Ortlieb, Clefs ouvertes 7mm, 8mm-9mm, 8mm-10mm
  4. Duct tape, rustines autocollantes pour chambre à air
  5. Dérive-chaine, Clef à rayon (alignement de roue), clef Pamir pour déserrer les cassettes, écrous, maille rapide pour chaine
  6. Clefs démonte-pneu, clef Shimano pour écrous de plateau
  7. Rustines autocollantes pour pneu (réparation d'une déchirure), rayon en kevlar (remplacement d'un rayon de roue cassé)
  8. Écrou-extracteur de pédalier, outils de reprogrammation du cadenas à combinaison, maillons de chaine
Guy

mercredi 23 octobre 2013

La pensée de Gilles

Un jour une personne demanda à un sage,« Est-ce qu’il y a quelque chose de pire que de perdre la vue ?» Il répondit « Oui, perdre ta vision»

mardi 22 octobre 2013

Les débarbouillettes


Le chemin de la décroissance matérielle nécessaire à notre aventure a duré pour nous 3 ans officiellement; les 3 années précédent le départ du 8 mai. Pour ma part, il aura débuté officieusement avec mon retour à Matane en 2005. 8 vélos et assez de matériels pour faire tourner un atelier de mécanique pesaient sans que je le réalise sur ma personne. Année après année, selon mon acceptation à laisser partir mes choses, incluant celles que j'avais fabriqué moi-même et toutes celles ayant une valeur sentimentale puisqu'elles me rattachaient à un passé dont je suis fier, j'ai vendu, donné ou recyclé. Chantal de son côté avait déjà peu de choses suite à une séparation où elle avait choisi sa liberté plutôt que son matériel.

Pour tout le reste, nous en avons planifié la diminution afin d'arriver au jour J avec le minimum de biens en entreposage et seulement le nécessaire à notre nomadisme dans nos sacoches. Nous avons donné une grande quantité de choses en 2010 et 2011. Le succès de la vente de garage de 2012 nous a fait prendre conscience que nous aurions pu faire grimper la cagnotte du départ en les vendant aussi. Pas question de regretter. La voiture et la maison auront demandé plus d'efforts par contre, même sentimentalement.

Décroissance signifie surtout ne pas croître! Il fallait contrôler notre consommation de biens durables. Idéalement ne rien acheté de nouveau qui ne partirait pas avec nous et remplacer seulement ce qui le devait. Mieux, remplacer 2 articles défraichis par un seul article. Encore mieux, s'en passer! J'avais un bon ami dans le passé possédant un trait de caractère que je ne comprenais pas. Il ne remplaçait ses articles de sport que lorsque ceux-ci avaient tout donné, parfois un peu plus. À ce moment de ma vie, je le comprenais. Il m'aura inspiré un petit jeu. Celui de doser l'usure de mon matériel jusqu'au dernier moment. J'ai étiré la vie de mes pneus, de mes souliers de marche en montagne, de tout. Par contre, le symbole suprême pour moi était nos débarbouillettes! Nous les avons regardé se défraichir, s'amincir, s'effilocher, sans broncher. Quelques dollars auraient suffit pour "régler" ce problème. Pas question! Elles devaient tenir bon jusqu'au 8 mai. Les débarbouillettes représentaient tous nos efforts!


Guy

jeudi 17 octobre 2013

Au calme à St-Georges de Beauce


Pour guérir nos petits bobos physiques, pour reposer notre mental, pour vivre une autre expérience et pour préparer la suite de l'aventure, nous sommes au calme à St-Georges de Beauce. Plusieurs d'entre-vous aviez offert une possibilité à notre besoin d'arrêt quelque part. Nous avons choisi la Beauce et la solution proposée par Gilles et Diane puisqu'elle nous force à vraiment décrocher. Nous n'avons pas de téléphone, ni de télé, ni d'internet mais nous avons un endroit magnifique et calme. MERCI! Nous prendrons nos courriels et messages Facebook de temps en temps. Donc n'hésitez pas si vous désirez nous contacter. La réponse sera simplement plus lente à venir!

Guy


mercredi 16 octobre 2013

La pensée de Gilles

« Si je pouvais retourner à ma jeunesse, je commettrais les mêmes erreurs de nouveau, mais plus tôt » 

Tallulah

mardi 15 octobre 2013

De nouveau sur la route: vers la Beauce


5 octobre 2013

Un "Merci pour tout"  et "j'y vais"  auront été pour moi les seules paroles que j'ai réussi à prononcer en quittant mes parents tellement l'émotion était grande.  Chantal aura vécu un peu la même chose la veille puisque ses parents ont quitté pour un petit voyage le vendredi. Cela aura été plus facile en leurs absences.  Nous pédalons lentement pour nous imprégner une dernière fois de Matane. La température est agréable si ce n'est un léger vent qui augmentera en intensité pendant la journée. Nous apercevons des oies blanches à plusieurs reprises. Elles sont quelques milliers à un certain point. Nous terminons notre journée au centre des loisirs de Luceville. C'est un coin connu et éprouvé pour nous. Notre nuit y sera calme.


6 octobre

Le réveil nous surprend par sa fraicheur.  Il y a gèle au sol que le soleil tente de faire disparaître lentement. Notre café matinal est le bienvenu.  Après à peine quelques kilomètres, à Ste-Luce, nous constatons que nous sommes sur le parcours du marathon de Rimouski. Nous croisons le meneur près de l'église; il est presque à mi parcours. À Pointe-au-Père, nous reprenons la route 132 tellement il est difficile de contourner les centaines de coureurs. Un peu avant le diner, nous aurons le plaisir de croiser Eddy et Jovette à Rimouski; Eddy vient de faire un excellent temps au 10 kilomètres. En début d'après-midi, nous faisons une pause au parc du Bic. Nous y savourons le soleil splendide de cette journée et profitons de la douche du camping pour nous rafraîchir. Ça nous fournira le courage pour pédaler jusqu'à St-Simon en passer par le méconnu et champêtre 1er rang de St-Fabien tout coloré par l'automne. Nous soupons et plantons la tente dans ce qui fut probablement le centre des loisirs de St-Simon. Tout est en piteux état. Pas important pour nous.

7 octobre

Ce vent qui perturbe notre sommeil. Ce vent qui tente de renverser notre précieux poêle peinant à chauffer l'eau du café. Ce vent qui souffle si fort et avec tant de bourrasques que l'on est rejeté sans arrêt sur le bas côté. Ah ce maudit vent!  Vous aurez compris que chaque coup de pédale en cette journée est pénible. À Trois-Pistoles nous doutons même que progresser est possible. Après un café (encore) nous reprenons la route avec courage. Surprise, le vent a baissé un peu mais surtout, sa folie est si grande qu'il nous pousse dans le dos aussi souvent qu'il nous ralentit. On croirait vivre la Patagonie de René Ouellet. Nous terminerons avec beaucoup d'efforts à Rivière du Loup au chic Auberge de la pointe. Nous obtiendrons, nous pauvre cycliste, une chambre à 109$ avec vue sur le fleuve pour 79$. Quel confort ce lit!

Quoi de mieux pour ajouter à ce luxe que de se préparer un petit souper pas ordinaire? Pour ce faire, je me propose pour me rendre seul à l'épicerie qui selon mon souvenir se trouve tout simplement de l'autre côté de l'autoroute, à moins d'un kilomètre. Erreur!!! Je dois traverser la ville en gravissant les côtes. Ma petite épopée nécessitera 90 minutes! Mais nous aurons des sushis et du vin...


8 octobre

Nous savourons le luxe du déjeuner sur une table de verre ce matin; le luxe d'un jus d'agrumes et le luxe d'un café très chaud. Le premier coup d'oeil vers l'extérieur par la très large porte patio donnant sur le fleuve est très prometteur. Le vent et la pluie de la nuit ont laissé la place au calme et à un ciel bleu. Notre départ se fera doucement vers 10h30. Nous n'avons pas besoin de nous presser. En théorie, notre objectif de mercredi étant Cap St-Ignace, nous ne devons pas faire plus de 60 kilomètres aujourd'hui. Ce sera 55 km dans les faits.

Nous avançons en savourant les couleurs de l'automne et la fraîcheur de cette journée. La traversée de Notre-Dame du Portage me rappelle à quel point je trouve ce village joli. Les falaises et les battures de Kamouraska elles, me rappelle à quel point je trouve toute la région splendide. Un détour imprévu dans le village de Kamouraska nous y fera découvrir un côté méconnu. Quel chance avons nous d'être sur la route au Québec en automne!



Le curé du village de St-Denis nous donnera gentiment son approbation pour l'utilisation de l'arrière cour de la dominante église comme camping. Même le bedo lors de son passage se montrera d'une grande gentillesse. Encore une fois depuis le départ de Matane, l'entrée dans la tente se fait dès 18h30.  Noirceur oblige, nous prenons plus de repos.

9 octobre

Cette nuit calme nous aura fourni un repos bienvenu. Nous déjeunons sur le perron de l'église malgré la fraîcheur matinale de cette journée qui s'annonce superbe. Dès les premiers tours de roue, il est évident que le vent viendra de l'ouest. Nous connaîtrons sa force un peu plus tard. Comme c'est devenu l'habitude, nous prenons une pause café, au McDonald's de La Pocatière cette fois.  La caféine ne sera pas superflus pour la section de piste cyclable sur les aboiteaux en bordure du fleuve. 
À St-Roch des Aulnaies, nous entrons en zone de guerre. Le village est sous le siège de la machineries lourdes utilisées pour la réfection entière de la grande rue. Nous ne pouvons profiter de ce joli village tellement on ne peut relâcher notre attention. La chaussée de gravier mou agmente l'effort pendant que les mastodontes nous oblige à zigzaguer. Nous passons même sous la flèche d'une pelleteuse (à l'arrêt) à un moment.

Le vent continu de ralentir notre progression sur cette longue section de la route 132. Cette difficulté s'ajoute à la douleur à un tendon d'Achille de Chantal qui l'handicape fortement. Malgré cela, nous arriverons chez Richard et Marthe à Cap St-Ignace vers 16h30. Nous sommes très heureux de les revoir puisqu'ils nous avaient reçu en 2012. Ce sera encore une fois une riche rencontre!

Photo à titre indicatif

Un peu plus tôt dans le secteur de l'Anse à Gilles, nous avons dépassé un cycliste, je devrais dire un tricycliste, réparant une crevaison à l'avant de son Rickshaw. Relisez la dernière phrase. Cet homme à la chevelure blanche et à la peau bronzé voyage avec un tricycle identique à ce que l'on voit en Inde et il semblait y transporter une charge aussi lourde. Incroyable! Nous sommes des moumounes avec nos petits vélos!  Ne voulant pas arriver après 17h chez nos amis, nous ne sommes pas arrêté pour jaser et prendre une photo malheureusement. Merde!

10 octobre

Suivant notre agréable déjeuner avec Richard et Marthe, nous prenons la route avec premier objectif de s'assurer que Chantal peut pédaler sans douleur. Nous poserons le pied au sol à Montmagny. Il est impossible pour ma douce de poursuivre la route. Heureusement, Richard nous avait proposé une alternative; il nous offre d'arrêter nous voir sur la route pour prendre des nouvelles et au besoin transporter Chantal et son vélo vers la Beauce. Ce sera la solution. Chantal arrivera en Beauce en début d'après-midi avec Marthe et Richard. Pour ma part, je continuerai, par principe et par orgueil.

Mon défi sera d'abattre 100 kilomètres supplémentaires selon Google Maps pour un total de 110 si je ne veux pas devoir monter la tente. La limite serait théoriquement 18h pour ne pas rouler de nuit. Mes capacités et mon orgueil seront mis à rude épreuve. Le vent de l'ouest sera très présent pour plus du 2/3 du parcours.


À Berthier sur mer, je tournerai vers le sud pour ensuite emprunter la route 228. Je ferai quelques arrêts dont à  St-François. Près de St-Raphael (Bellechasse),  mon inspiration me fera prendre le circuit cyclable du Grand Saut. Superbe mais il se transformera rapidement en gravier difficile à naviguer.


Les couleurs orangées de l'automne sont extraordinaires! Je fais une pause diner près d'une chute ou je discuterai avec des habitants de l'endroit. Ce secteur devait me permettre de simplifier mon trajet. Ça fonctionne en ajoutant de la difficulté par contre.


À St-Anselme, pour me donner un peu de courage, j'englouti un café et un caramel Vachon. Ça marche! Heureusement puisque suite à la traversée du pont de la rivière Etchemins, je dois gravir une petite montée courte mais très abrupte. Son souvenir me revient à l'esprit. Il y a bien des années que je ne suis pas passé par là. Heureusement que je suis un cycliste! Le pont était fermé à la circulation automobile pour vérification. Il aurait fallu que je rebrousse chemin et trouve une alternative à plusieurs kilomètres. Ou que je nage...

10 nouveaux kilomètres me feront traverser Ste-Hénédine. Je n'arrête pas. Encore un autre 10 et j'entre à Scott (autrefois Scott Jonction). Là, je lèche une crème molle à la Cantine chez Sandra. Ça me redonne encore un petit peu courage. Faut dire, que je suis tellement près de mon but que rien ne pourrait m'arrêter, pas mème la noirceur. La piste cyclable me permettra de me rendre à Ste-Marie de Beauce rapidement. Je connais très bien le secteur pour y être demeuré pendant 10 ans. Je serai accueilli comme un roi par nos amis Gilles et Diane; c'est une habitude chez eux! J'y retrouve Chantal avec bonheur!


J'ai fait un constat pendant cette journée. Il m'a même frappé très fort dans le visage ce constat! J'ai compris ce que Chantal vivait jours après jours. J'ai du, pour atteindre mon objectif, pousser de toute mes forces pendant près de 6 heures. Chantal subit ce traitement depuis près de 5 mois. Elle maintient un effort maximal en tout temps. Aurais-je supporté 5 mois à 100% de mes capacités? Pas sur du tout. Donc, chapeau Chantal pour ton courage!

lundi 14 octobre 2013

7000 kilomètres






Passage du cap des 7000 kilomètres près de St-Gervais dans Bellechasse. C'est un bon été de pédalage! Sans oublier que ce sont des kilomètres lourdement chargés!


jeudi 10 octobre 2013

Quel cadeau!

Quel cadeau que notre passage à Matane! Voici une partie des plaisirs que nous avons savourés:

  • Passer du temps avec nos familles
  • Voir nos amis (malheureusement pas tous!) 
  • Ascension du Mont Albert avec Rock et Karine  et y croiser Raymond dans sa descente fulgurante!
  • La poutine et la bière de la Fabrique
  • L'ascension de la coulée Carrier
  • La bonne bouffe de nos mères
  • L'odeur différente et rassurante du bord du fleuve
Merci!!!



mercredi 9 octobre 2013

La pensée de Gilles

Un jour St-Augustin a écrit :« Le monde est un grand livre, celui qui n’a pas voyagé n’en connait qu’une seule page.»

mardi 8 octobre 2013

La fameuse urinette portative...


Ah la fameuse urinette portative... Outil très utile pour la femme sur la route. Facile à perdre aussi...

Après la disparition du pStyle de Chantal, j'ai fabriqué une copie qui a elle aussi disparue mystérieusement. J'ai repris le travail une seconde fois. J'ai obtenu une version fonctionnelle mais peu esthétique.


Voici la dernière version, fabriquée à partir d'une bouteille de shampoing. Le mousqueton permet de fixer l'urinette très solidement au vélo. C'est fonctionnel!

Dernière heure: les deux dernières versions manque de profondeur et de longueur. Mauvais choix de contenant à découper.

Faudra commander la vraie...ou se remettre au travail!

Guy

lundi 7 octobre 2013

Photos Nouvelle-Écosse inédites 3

Voici une troisième série de photos de notre parcours en Nouvelle-Écosse non encore publiées sur le site. Elles n'ont pas été éditées. N'hésitez pas à commenter!












jeudi 3 octobre 2013

Les couvre-selle


Rouler avec les selles les plus confortables au monde impose tout de même des sacrifices. Les selles Brooks demandent un peu d'entretien et d'être protégées de la pluie. La protection la plus simple est l'utilisation d'un sac de plastique. Ça fonctionne mais ne dure pas longtemps.

Les couvre-selle commerciaux fonctionnent bien quand on en trouve mais à la longue, perdent aussi leur efficacité. J'ai trouvé une solution acceptable. J'ai fabriqué des couvre-selle en nylon robuste non imperméable que l'on installe par dessus un sac de plastique. On remplace le sac de temps en temps pour conserver l'étanchéité et le couvre-selle tient le sac de plastique bien en place en plus de permettre de pédaler avec s'il pleut vraiment beaucoup.

Guy

mercredi 2 octobre 2013

Mise à jour de la page Projet (si vous ne nous suivez pas sur Facebook)

Si vous ne nous suivez pas sur Facebook, vous serez peut-être intéressé de savoir que nous avons mis notre page Projet à jours afin de refléter la réalité de notre seconde partie d'aventure. C'est par ici

La pensée de Gilles

Un collègue disait « plus l’on est loin de quelque chose plus le raisonnement est court»
 
Si je ne suis pas familier avec une situation ou une organisation, la façon de le comprendre ou de l’expliquer est habituellement simple, alors que pour celui qui la connait il y voit la complexité.

mardi 1 octobre 2013

D'excellente à exceptionnelle!

Pour mon nouveau cadre, je m'étais procuré une excellente fourche Kona Project 2. Elle est précise, robuste et increvable. Le seul petit bémol était le besoin d'utiliser un écrou en U pour fixer le porte-bagage avant. C'est laid et nécessite une grosse clef que je ne transporte pas, pour le serrage.

Une des tâches sur ma liste pendant la pause à Matane était d'ajouter des oeillets filetés sur ma fourche.

J'en ai brasé trois après avoir fait disparaître la solide peinture d'origine. Voici le raisonnement:

  • Ceux du bas et du milieu serviront pour le porte-bagage en position basse. 
  • La combinaison de l'oeillet du milieu et du haut pourrait servir au positionnement du porte-bagage en position haute.
  • L'oeillet du haut pourra servir pour une éventuelle plate-forme à bagage comme sur mon Koga-Miyata.
Support en position basse


Support en position haute



J'aimerais remercier mon vieil ami René Bouffard et M. Arthur Bouffard  de l'Atelier de Soudure Arthur Bouffard pour m'avoir permis d'utiliser leurs matériels de soudure puisque je n'en possède plus.

Pour les intéressés, j'ai brasé les oeillets avec une tige d'argent ce qui permet d'éviter de surchauffer l'acier de la fourche. J'étais un peu rouillé mais le résultat est tout à fait acceptable. Pour le moment, elle sera peinte par moi-même au pinceau SVP. J'envisage de lui faire l'honneur d'une peinture à la poudre pendant notre passage en Beauce pour plus de durabilité et un look d'usine.

Oeillet du milieu avec son renfort étoilé


Oeillet du bas



Guy